Le nombre de mineurs incarcérés reste relativement stable depuis dix ans – autour
de 3 000 par an. C'est encore trop : 62 % sont en détention provisoire et les infractions les
plus graves (crimes et homicides, violences sexuelles) ne concernent que 12,5 % des
condamnés. Si l'on ajoute les quelque 1 700 placements annuels en centre éducatif fermé,
se révèle une place croissante accordée à la contrainte dans la réponse à la délinquance
des ...

PROTECTION DES MINEURS ; PRISON ; CENTRE EDUCATIF FERME ; délinquance juvénile ; CONTRAINTE ; DROIT PENAL ; PROTECTION DES JEUNES MAJEURS ; ACCOMPAGNEMENT SCOLAIRE ; ECHEC SCOLAIRE