La politique antiterroriste ne se limite pas au seul volet répressif, s'y ajoute un volet préventif qualifié de lutte contre la radicalisation que l'auteur interroge : quels sont les fondements de cette forme de soft antiterrorisme qui se déploie depuis une dizaine d'années en Europe ? Les mesures mises en oeuvre ont-elles produit les effets recherchés ? Leurs effets pervers ne devraient-ils pas conduire à envisager d'autres approches ?