La directrice des relations extérieures d'un club de football professionnel a formulé, auprès d'un journaliste, des griefs contre son employeur, malgré la clause de confidentialité insérée dans son contrat de travail. La Cour d'appel d'Aix-en-Provence qualifie ces actes de "faute grave", par opposition aux fautes "sérieuse" et "lourde", ce qui réduit le montant des indemnités auxquelles l'intéressée, licenciée, aurait pu prétendre.
SPORT ; DROIT DU TRAVAIL ; FOOTBALL ; CLUB SPORTIF ; Clause de confidentialité ; Indemnité de licenciement