Le mal-logement ne touche pas de manière homogène la population en France. Éclairé sous le prisme du genre, le mal-logement prend du relief en particulier pour les minorités discriminées comme les personnes LGBTQ+, de même que pour les femmes seules qui sont désavantagées sur le marché du logement privé. Ces dernières vivent des situations de vulnérabilité accrues par les violences de genre et la maternité. Même si l'hébergement institutionnel ...