En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK
0

33 jours qui ébranlèrent la Sorbonne : les années 68

Sélection
Ouvrage

LEGOIS, Jean-Philippe

Paris

Ed. Syllepse

2018

234 p.

Groupe de recherches sur les mouvements étudiants (GERME)

pp. 229-231

978-2-84950-668-4

La Sorbonne, c'est à la fois l'alma mater, le coeur vibrant de l'ancien régime universitaire et un des nombreux centres des «événements de 1968».
Occupée pendant 33 jours par les étudiant-es, les enseignants-es et les les non-enseignant-es, la Sorbonne est au coeur de la contestation du système universitaire et de la société tout entière. La vieille Sorbonne n'y survivra d'ailleurs pas.
Les 33 jours d'occupation ne viennent pas de nulle part. Au-delà des cliches véhiculés de commémorations en commémorations, la Sorbonne, alors principalement faculté des lettres et sciences humaines de Paris, est une des failles tectoniques d'un système d'enseignement supérieur en crise.
C'est à la Sorbonne que le syndicalisme étudiant tente des expériences de démocratie directe, revendique le «pouvoir étudiant», c'est là que trouvent refuge les dissidences de gauche et que les groupes de la gauche révolutionnaire tiennent le haut du pavé.

Le 16 juin, les étudiants quittent la Sorbonne. Mais rien ne sera plus comme avant. Au terme des trois années d'une «révolution universitaire post-1968», la vieille Sorbonne se meurt, de nouvelles universités prennent la place.

MAI 1968 ; MOUVEMENT ETUDIANT ; ENSEIGNANT ; UNIVERSITE ; société ; CONTESTATION ; SYNDICAT ; PARTI POLITIQUE ; MANIFESTATION ; ENGAGEMENT

Prêt


Exemplaires

Cote N° d'inventaire Conditions de diffusion
1 EDU 53 LEG J 32660 Prêt
Sélection

Mes paniers

4

gerer mes paniers

0